Coups d’Etat, pandémies, actes terroriste, corruption, intrusions informatiques, accidents, sabotage, prises d’otage, déstabilisations par l’information, détournements de deniers publics, catastrophes naturelles, etc., la matérialisation des risques fait désormais partie du quotidien du décideur africain. La société du risque dans laquelle sont plongées les organisations publiques et privées africaines appelle des compétences spécifiques et une vue holistique en matière d’anticipation, de cartographie, d’analyse et de communication.